Festival Community
This website is using cookies to. By clicking 'OK', you agree with our cookie policy. More about this.
OK
in collaboration with
rebel:art

2081 (corto / short film)

0

En un futuro distópico, gracias a la 210ª, 211ª y 212ª Enmienda de la Constitución y a la incesante vigilancia del Discapacitador General de Estados Unidos, todos son finalmente iguales. Los fuertes llevan pesas, los bellos usan máscaras y los ...

Memefest Interview. English version out now on Digicult

1

Finally, the Englis version of the interview with Oliver is on line on Digimag vol. 60
"MEMEFEST: OLIVER VODEB. CRITICAL AND RADICAL COMUNICATION"
http://www.digicult.it/digimag/article.asp?id=1957
It's much more that a "propaganda" interview ...

TOP SECRET ?

4

This is my illustrated interpretation of the phenomena of digital media and Wikileaks BOOM we are confronted with in this period.
It`s a cover illustration for the student magazine KAŽIN of the University of Primorska region - Slovenia.

Hej ho!

0

Hej ho, zovem se Dragana, neznam još šta tačno znaci manifest, al cu saznati :P

Pozdrav!!! :)

what to do. .

0

this world dont need representations any more, this world needs to heard the voice of many people about the things which represents the world.
Because that things are a level that just says a few things, and even more, can ...

Le webdocumentaire en 2011

1

En mars 2010, l'expert français en audiovisuel Web & TV, Olivier Crou (ourc sur Twitter), a contribué un billet puissant au sujet du webdocumentaire. Il y explique avec moultes détails et exemples en quoi ce "nouveau" genre de documentaire permet à la fois une lecture délinéarisée et participative.

Il soutient notamment que le webdocumentaire offre une nouvelle grammaire, une nouvelle façon de narrer une histoire. Son billet complet se trouve ici: http://webdocu.fr/web-documentaire/2010/03/05/qu%E2%80%99est-ce-que-le-webdocumentaire/ Je vous le recommande fortement.

Ce billet et tous les contenus qui ont fusé par la suite en 2010 -- autant sur les plateformes de l'ONF (http://interactif.onf.ca), d'ARTE (http://webdocs.arte.tv) que de LeMonde.fr (http://www.lemonde.fr/a-la-une/visuel/2010/04/09/le-corps-handicape-vivre-apres-l-accident_1330980_3208.html), et les sites indépendants (ex: http://www.lescommunesdeparis.fr/) -- en ont fait une année faste pour le documentaire interactif.

Mais ce genre, souvent mépris pour le reportage multimédia (il est vrai, la frontière entre documentaire et reportage est parfois fine), a un temps été vu comme un genre-refuge pour un journalisme agonisant. Or, depuis, il y a eu WikiLeaks, phénomène autrement plus massif et qui devrait durablement modifier le journalisme dans nos soi-disantes démocraties. WikiLeaks et ses inévitables émuls, les variantes sur le thème du data-journalisme et autres initiatives alliant enquête, programmation, graphisme et narration vont faire tout un tapage en 2011, c'est garanti.

Le webdocumentaire, lui, restera. Il ne sera pas une panacée pour les journalistes et documentaristes qui vivent de plus en plus des situations de précarité avancée. Mais il sera. Les reporters multimédia -- surtout les natifs du Web -- et les documentaristes curieux de la culture numérique, devraient être en mesure, en 2011, de créer ici et là de bons récits documentaires accotés sur une infrastructure technique d'avant-garde.

Ce que Gaza-Sderot (http://gaza-sderot.arte.tv/fr/) et Waterlife (http://waterlife.nfb.ca) ont été en 2009 et, Prison Valley (http://prisonvalley.arte.tv/?lang=fr) et PIB (http://pib.onf.ca) en 2010, d'autres le seront en 2011.

Ceci dit, il y a lieu de se questionner sur la capacité d'attraction de ce genre. Tout comme le documentaire classique, jusqu'à preuve du contraire, le webdocumentaire n'a pas réussi à attirer de foules. À l'exception des webdocs adossés à des télés publiques, les webdocumentaires ne créent pas d'engouement populaire. Sont-ils surproduits? Surfaits? Inaccessibles pour le citoyen? Je ne pourrais dire, pour l'instant. Il reste qu'il s'agit d'un irritant qu'il faudra dépasser en 2011, si le genre est pour se faire une petite place dans les chaumières.

Certains plaident d'ores et déjà pour le cross-média (ou transmédia, c'est selon) -- forme de production dans laquelle on joue sur plusieurs tableaux (sur plusieurs écrans). Or, là réside justement un petit problème. Appelons ça un risque,

L'une des beautés du webdocumentaire réside dans le fait qu'il peut (mais ne doit pas) se confiner au Web indépendant, voire au Web non-commercial. ARTE et l'ONF, deux agences publiques, dispensées de l'obligation de maximiser les profits (jeu auquel joue la télé privée), se démarquent d'ailleurs au chapitre de la production de webdocumentaires. C'est le cas aussi des autres télédiffuseurs publics et même les ONGs (ex: Médecins sans frontières et leur "État: critique" http://www.condition-critical.org/fr/).

Pour boucler la boucle, je pense sérieusement que le webdocumentaire est voué à un bel avenir cette année encore, mais à la condition qu'il arrive à user de ruse pour se faire une place au soleil. Une place dans le Web citoyen et sur les supports mobiles. Au lieu d'abdiquer du Web d'avance en tentant de s'en remettre à des stratégies cross-média qui font malheureusement trop souvent le jeu des impératifs des télés privées, les artisans du webdocumentaire devront continuer à flirter avec toutes les possibilités du Web indépendant. On est loin d'avoir tout essayé.

Je ne dis pas pour autant que les intérêts privés ne sauraient faire dans le webdocumentaire, comme l'ont tenté SFR en France avec le webdoc Homo Numericus (http://www.sfrplayer.com/homonumericus/#/le-webdocumentaire-sur-la-revolution-numerique-de-sfr-page-d-accueil) ou encore MediaStorm aux États-Unis, qui ne cesse de pondre des essais photo-vidéo de haute qualité, en association avec des médias commerciaux. Les exemples existent, mais pour le nombre de médias qui auraient le potentiel de produire des webdocumentaires, force est d'admettre que l'entreprise privée n'est pas au rendez-vous. Question de culture, d'intérêt.

Le webdocumentaire en est à ses premiers balbutiements. Si toutefois 2011 s'avère un échec sur le plan de l'auditoire, il se pourrait fort bien que le genre soit déjà en train de connaître son âge d'or. Le succès d'estime, c'est bon, le succès d'auditoire, c'est mieux ;-)

Bonne année 2011.

Frédéric Dubois est basé à Montréal.

Choose and be damned.

4


Suddenly, in the digital age, a personal decision like logging off Facebook is not in my hands anymore. It is inextricably linked to my “friends”, work, groups and notes. It does not matter if I continue to gag over photographs ...

ABOUT OPENBLOG

Open blog is a collective blog agregator.  Posts that can be read and viewed here have been originally posted by members of the Memefest community.

While members of the community  are able to check blog posts from the circle of their comrades within the on-line profile, this is the place where you are able to check on everything that has been bloged by anyone on this platform. The toppics and styles are diverse as this community consists of people from very different cultural, social backgrounds and also very different fields of expertice. Together- and through time- we hope – this gives us a good picture of radical communication culture.